Le covoiturage permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 1,8 tonnes par covoitureur par année.
La moyenne d'économie pour une personne pratiquant le covoiturage pour le travail est de 2500$ par année.
Le covoiturage augmenterait la sécurité sur les routes, car le fait d'avoir d'autres personnes à bord responsabiliserait le conducteur et l'inciterait à respecter le Code de la route.
La marche et le vélo combinés avec le transport collectif peuvent prévenir une grande proportion des 3,2 millions de décès annuels causés par l’inactivité physique.
Les utilisateurs du transport en commun atteignent plus facilement les cibles d’activité physique recommandées. Ils marchent en moyenne trois fois plus que les autosolistes.
Pour chaque dollar investi dans le transport collectif, le retour sur investissement est de quatre dollars.
Un seul autobus permet d’économiser 70 000 litres de carburant et empêcher le rejet de 168 tonnes de polluants par an.
Le taux de collisions mortelles par km/passager du transport collectif correspond à un vingtième de celui de l'automobile
L'essence, les assurances et l'entretien sont généralement compris dans les tarifs de l'autopartage. Cela revient moins cher que posséder une voiture, même lorsqu'on a besoin d'un véhicule au quotidien.
En 2012, les 26 000 Québécois abonnés au service de l'autopartage ont réduit leurs émissions de 31 200 tonnes de CO2.
L'autopartage permet de ne pas investir dans l'achat d'une voiture et d'éviter les frais de déneigement, de stationnement, d'entretien du véhicule et d'assurances.
En moyenne, une voiture reste stationnée 95% du temps et roule un peu moins d'une heure par jour.
Plus de 75% des adhérents québécois à l'autopartage déclarent s'être départis de leur véhicule ou avoir renoncé à son achat, grâce à ce service.
Les risques d’obésité diminuent de 4,8 % pour chaque kilomètre marché par jour
Les aménagements pour les déplacements à pied sont plus efficaces étant donné que les trottoirs peuvent accueillir 20 fois plus de personnes par heure qu’une route urbaine.
En terme d’espace public, 1 voiture = 44 piétons ou 7 vélos.
La marche et le vélo combinés avec le transport collectif peuvent prévenir une grande proportion des 3,2 millions de décès annuels causés par l’inactivité physique.
Au Québec, près de la moitié des déplacements effectués quotidiennement sont de moins de 3 km (30 minutes à pied, 12 minutes à vélo) tandis que le quart sont de moins de 1,5 km (15 minutes à pied).
En se déplaçant de façon active 30 minutes par jour, on réduit de 50 % ses risques de maladies cardiovasculaires.
Chaque heure passée quotidiennement derrière le volant d'une voiture augmente de 6% le risque d'obésité. Par contre, chaque kilomètre marché le diminue de 5 %.
Avec le VAE, il faut pédaler car le rôle du moteur électrique d’un VAE est uniquement de faciliter le pédalage. Le VAE constitue donc un mode de transport actif et accessible pour les personnes de tous âges et de toute condition physique.
Grace au moteur électrique, l'effort est réduit, ce qui permet d'arriver à destination frais et dispo.
Le vélo à assistance électrique permet de parcourir de plus longues distances et d'apprécier les parcours en relief, même chez les personnes moins en forme.
Un VAE émet 780 fois moins d’émissions de CO2 qu’une voiture à essence pour son utilisation et 25 fois moins qu’un véhicule électrique.
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